samedi 27 décembre 2008

Décembre 2008,un "teambuilding" efficace et original

Dans la lignée de l'esprit ELO "l'engagement par l'action", notre équipe a proposé à l'un de ses clients,entreprise agro alimentaire internationale, un format de team building "de crise" trés original.
Il s'agissait de répondre à un objectif on ne peut plus concret: remotiver l'ensemble des équipes d'une usine appartenant au groupe après une lourde restructuration, dans le cadre d'une journée de réunions et d'ateliers en dehors de l'entreprise. Ainsi, pour cette journée, nous avons proposé une réponse en deux temps forts unis dans une démarche globale.

Le premier temps fort fut la présentation par Eric Loizeau de l'expédition Everest 2003. Au delà de l'exploit individuel hors du commun, c'est avant tout la réussite en équipe que démontre Eric en racontant avec simplicité 3 mois d'aventure humaine exceptionnelle, 3 mois d'engagement qui ont permis à Eric, 2 autres alpinistes et 3 sherpas, soutenus par une forte équipe logistique, de fouler le toit du monde.

Le deuxième temps fort fut la participation de tout le groupe à une animation/formation en équipe autour du thème "l'intelligence collective" et d'un objectif, "vous dépasser pour ensemble conquérir votre Everest" . 
Pour cela, le groupe de 210 personnes a été réparti en 7 "cordées" de 30 personnes. Dans chaque cordée, un comédien "guide" entraîne les participants dans l'histoire suivante: "Au cours d'une expédition pour laquelle vous êtes préparés et engagés dans le but d'atteindre le sommet, une forte tempête survient alors que vous ne vous trouvez qu'à quelques centaines de mètres de votre objectif..."
La suite de l'animation consiste à trouver dans l'échange un consensus et un accord constructifs sur la conduite à tenir afin de réussir l'expédition. Au final, cet exercice de formation conduit de manière ludique à mettre en avant l'efficacité de l'intelligence collective.La synergie et la collaboration des individus autour d'un objectif commun fait émerger des facultés de création et d'apprentissage supérieures à celles des individus isolés.

Relier l'expérience forte d'Eric Loizeau sur les pentes de l'Everest et la mise en situation immédiate des participants a permis de dynamiser le groupe et de créer les bases d'un processus de réflexion que l'entreprise peut appliquer au quotidien.

Le message envoyé à notre équipe par le directeur de l'usine prouve la pertinence de ce format de team building: 

"D'abord merci pour l'organisation de la journée. Le feedback du personnel est très largement positif. La présentation d'Eric a marqué les esprits. Les exercices de l'après-midi ont joué leur rôle et satisfait une trés grande majorité des participants. Pour moi, la journée est clairement un succès et nous donne une base de travail sur laquelle nous allons continuer à construire sur 2009."

Remerciements de ELO à ses fidèles partenaires:
Mary Herson, Bruno Lehoux et leur équipe de l'AIS (Acting Intelligence Service) qui ont bâti et animé les ateliers.
Philippe et l'équipe de DAYNIGHT EVENTS qui ont assuré les projections, la sonorisation et la mise en lumière de cette journée.







samedi 29 novembre 2008

Incentive et team building pour Manutan en Namibie


Chaque année, le comité directeur de la société Manutan demande à Eric Loizeau et son équipe de lui organiser "un vrai truc", à la fois pour récompenser ses collaborateurs des bons résultats de l'année et souder l'ensemble de l'équipe.
Après Oman, la Namibie...! Avec comme objectif l'ascension d'un vrai sommet, le Spitzkoppe ("tête pointue" en Africaner). Cette pyramide de granit ocre de 700 mètres de hauteur, surnommée également le "Cervin africain" pour sa forme caractéristique, se dresse au milieu de nulle part en plein Damaraland, région désertique située entre la capitale Windhoek et l'océan atlantique. Repéré et gravi par Eric Loizeau et François Pallandre au mois de juillet précédent, peu connu mais accessible, ce superbe piton s'avérait l'objectif idéal pour un groupe motivé mais peu habitué à l'escalade. 
Après quelques entraînements au MurMur de Pantin, le groupe de 15 personnes débarque mi novembre sous le soleil ardent de Namibie et rejoint immédiatement l'équipe de reconnaissance au camp de base installé juste au pied de la montagne. Les deux guides de l'équipe ELO organisent dès son arrivée une session de révision des techniques de base, car demain il va falloir grimper.... Le lendemain matin, dès quatre heures, à la lueur des frontales, le groupe attaque les premières pentes faciles du Spitzkoppe dans la moiteur de la nuit africaine. Les premiers 400 mètres d'ascension s'apparentent plus à une marche raide, parfois pénible, au milieu de blocs abrasifs et de buissons épineux. Au petit jour, le camp de l'Epaule est atteint. A partir de cet endroit, la vraie escalade commence. Sur cette plate forme surplombant le désert, des réserves d'eau ont été apportées la veille par des membres de la tribu des Damara, ce qui va permettre aux plus fatigués et aux moins expérimentés de rester en stand-bye. La suite de l'ascension débute par du "scrambling" , escalade facile d'un long couloir encaissé qui aboutit à une longue fissure/cheminée très étroite qui permet de passer sur l'autre face de la montagne... Cette première vraie difficulté qui ressemble plus à de la spéléologie est remarquablement franchie par les deux cordées, aidées il faut le dire par un bout de corde placée fort à propos la veille par les guides. Ensuite, un premier rappel permet d'accéder au pied de la longue dalle qui aboutit au sommet en trois longueurs côtées 5+, dans lesquelles, pour certains,  il va falloir sérieusement se dépasser. Le soleil réchauffe le rocher sous les mains et une brise fraîche régale l'atmosphère. Quelques cordes fixes aménagées la veille facilitent l'ascension et tout le monde se retrouve au sommet vers 11 heures pour une photo mémorable. Mais, comme le dit Eric, à la différence de la course à la voile, l'arrivée n'est pas au sommet, mais au retour en bas au camp de base.  Autrement dit, il va falloir redescendre et ce sera peut-être le plus pénible après la fatigue accumulée, avec le stress de trois longs rappels pendulaires de plus de 50 mètres suivis de l'interminable descente sous un soleil de plomb.
Arrivés en bas, nous avons été ravis d'apprendre que nous avions battu une sorte de record, avec 10 personnes ensemble au sommet le même jour.... Mais ce n'est pas le plus important.... Une opération de cohésion réussie se voit dans l'immense sourire qui illumine le visage des participants, heureux et fiers d'avoir vécu ensemble des moments parfois difficiles , et réussi des choses qu'ils se seraient crus incapables de réaliser seulement quelques mois auparavant
Ensuite, l'autre grand moment fut la soirée d'échange organisée au camp de base par Manutan en l'honneur de nos hôtes de la tribu des Damara, avec distributions de cadeaux utiles spécialement amenés de France, pour les remercier de nous avoir ouvert les portes de leur territoire l'espace de quelques jours.
Remerciements à la tribu des Damara, à l'équipe d'XO Africa, David et Ian, nos correspondants en Namibie.
Bravo aux guides de montagne, Hubert Fievet et François Pallandre.
Mention spéciale au chef de projet ELO, Didier Depond.
Remerciements à nos fidèles partenaires techniques: Petzl, Quechua, Suunto

jeudi 13 novembre 2008

Un petit tour de 50 pieds pour Eric entre Méditerranée et Atlantique



Eric a repris la mer pour quelques jours en participant au convoyage du voilier monotype de 50 pieds Bostik entre Malaga et Lisbonne.
Ce voilier de course dessiné par le cabinet d'architecture navale Finot-Concq est le premier d'une série destinée à courir "à armes égales" et en solitaire, une course autour du monde en deux étapes baptisée la "SoloOcéane" dont le départ sera donné de Caen fin 2009. En ce mois de novembre, le bateau finit sa longue période d'essai qui l'a vu parcourir en équipage réduit un demi tour du monde (jusqu'à Wellington en Nouvelle Zélande), un aller et retour en Atlantique nord, un tour de Méditerranée dont la Middle Sea Race et enfin ce convoyage retour vers Caen son port d'attache.
La météo capricieuse de la Méditerranée a quelque peu chamboulé le programme et il a fallu s'adapter. Tout d'abord, des vents violents de sud-ouest ont obligé l'équipage à une escale technique à Palma de Majorque pour réparer une déchirure au Solent (voile d'avant essentielle), puis des calmes ont ralenti le bateau dans sa progression vers Gibraltar. Si bien que l'embarquement d'Eric à Malaga s'est fait avec deux jours de retard. Ensuite, le vent s'est obstiné à souffler de face rendant la route directe toujours impossible: près serré et louvoyage de rigueur dans des brises souvent évanescentes dues à une puissante bulle anticyclonique calée au large du Portugal.... Pour Eric qui rêvait de connaître les indéniables qualités du bateau au portant dans la brise qu'on lui avait tant vantées, ce sera pour une autre fois.... Par contre, il a pu apprécier son équilibre parfait le rendant très agréable à barrer, sa simplicité de manoeuvre et sa régularité sous pilote automatique, un véritable sésame pour les courses en solitaire. Sans oublier l'efficacité du moteur qui a permis d'avancer dans les périodes de calme plat....
Ainsi, il aura fallu trois jours entiers pour rallier Lisbonne de Malaga, en parcourant près de deux fois la route, ce qui est tout de même frustrant lorsqu'on navigue sur un tel coursier. Et cela malgré toute la bonne volonté et la compétence de l'équipage de convoyage dirigé par l'expérimenté "boat captain" Yann Clavier. Cela dit, la mer, qu'elle soit méditerranéenne ou atlantique, s'est tout le temps montrée magnifique sous le soleil ou la lune, peu fréquentée, si ce n'est par des baleines, tortues et dauphins venus tour à tour croiser le sillage de Bostik, offrant ainsi à Eric un agréable retour à ce qui reste tout de même son univers de prédilection.
Et, samedi soir, après l'avoir déposé à l'entrée du Tage dans la marina de Sintra, le bateau est reparti immédiatement vers le nord , espérant trouver enfin des conditions plus dignes d'un mois de novembre et d'achever son périple.

Remerciements à l'équipe de la SolOcéane pour cette invit
ation à tester leur bateau et bien sûr à l'équipage de Bostik,  Yann Clavier, Franck Ferey et Cyprien Bertrand.

dimanche 19 octobre 2008

Eductour "Earth Guest Discovery" en Sardaigne


"Earth Guest" est un programme ambitieux dans la stratégie de développement durable du groupe ACCOR qui vise le bien-être des individus et la préservation de l'environnement. Il était tout naturel qu'Eric Loizeau, par sa vie de marin et d'alpiniste et son expertise en "team-building" et RSE y soit associé.
Parmi les divers programmes mis en place par Eric et son équipe dans certains hôtels du groupe, celui du Timi Ama en Sardaigne est plus précisément dédié à la découverte et la préservation du milieu marin. En ce début du mois d'octobre, un "eductour" a donc été organisé sur place pour montrer à nos clients et prospects tout son intérêt. 
L'hôtel Pullman Timi Ama Sardegna est niché dans un environnement exceptionnel au sud de la Sardaigne, une baie superbe de sable très blanc enchâssée dans une côte minérale de granit,  des îles sauvages appartenant au parc "géomarin" de Cape Carbonara et une mer d'un bleu cristallin. La ville la plus proche est Cagliari, située à une trentaine de kilomètres et accessible rapidement par avion de toutes les capitales d'europe.
La journée d'activité  est organisée en collaboration avec deux biologistes responsables de l'Aire Marine Protégée du Cap Carbonara spécialisées dans la protection des tortues de mer qui séjournent sur ces rivages. Après une intervention d'Eric sur les problèmes de pollution rencontrés au cours de ses aventures en mer et en montagne,  le groupe embarque avec elles sur un voilier traditionnel pour naviguer jusqu'à l'île protégée de Cavoli.  A et endroit, après une explication sur les problèmes causés par la prolifération des emballages plastiques de toutes sortes qui empoisonnent les mammifères marins, commence pour tout le monde une "mission" de nettoyage des plages de l'île qui permet de collecter dans la joie et la bonne humeur une bonne dizaine de sacs de déchets qui seront ramenés sur le continent. La journée s'achève par une séance de plongée avec masques et tubas le long de la côte, une visite du centre de secours des tortues marines, et un délicieux dîner sarde au retour à l'hôtel.
En conclusion, ce voyage "eco-explore" aura fait l'unanimité aux yeux des participants, au regard des nombreux messages de remerciements reçus au retour  et confère un bel encouragement pour la suite des voyages du même type concoctés par la société ELO pour le groupe ACCOR.

Remerciements aux biologistes Federica et Francesca, pour leur compétence et leur gentillesse, à la direction de l'hôtel Pullmann Timi Ama pour leur efficacité, à Thierry (ELO), Lamia et Quentin (ACCOR) pour l'organisation et la coordination  et bien sûr à l'ensemble de nos invités.

samedi 27 septembre 2008

Antoine Carpentier et Guillaume Vallot vainqueurs du Trophée Mer Montagne® à Cancale


Pour ce deuxième retour de la Montagne à la Mer (le premier avait eu lieu en 2005 à l'Aberwrac'h), la région de Cancale s'était parée de ses plus beaux atours, une météo époustouflante de ciel bleu et de brise légère. Comme se plaît à le répéter Eric Loizeau, le "Captain" du Trophée: "c'est toujours mieux que sous la pluie..."
Quatre jours de compétitions acharnées, principalement sur les Hoby 16 gracieusement mis à disposition par la célèbre marque, ont permis de sacrer vainqueurs une équipe de trois jeunes espoirs du sport français: le navigateur Antoine Carpentier, l'alpiniste Guillaume Vallot et Léa la jeune cancalaise, les plus réguliers sur l'ensemble des épreuves. Antoine est un des plus sûr espoir de la voile hexagonale. Trinitain pur jus, il n'a cessé de naviguer depuis sa petite enfance sur tous types de bateaux; vainqueur cette année du Tour de France à la voile et de Québec St Malo en classe 40, il se prépare pour la prochaine Route du Rhum qu'il serait bien capable de gagner s'il trouve un sponsor. Avis aux amateurs... Quand à Guillaume, déjà habitué du Trophée Mer Montagne® dont il a remporté le Trophée de la Nuit cet hiver aux Saisies, c'est un grimpeur polyvalent qui compte déjà l'Everest à son palmarès et s'est mis en tête de naviguer sérieusement pour devenir peut être coureur de haute mer. Léa, pour sa part, est passée récemment de l'Optimist au Cata de sport et s'entraîne régulièrement au Club de voile de Portmer, entre parenthèses très actif tout au long du Trophée. 
Parmi les points forts de cette belle édition, on retiendra dans le désordre, le Prologue en Hoby 16 très agité qui a donné au célèbre guide skieur Anselme Baud, associé à Frank Yves Escoffier, le surnom de "petit baigneur", les épreuves de Bisquine en mer et à terre qui ont permis aux navigateurs d'aujourd'hui de tâter de la voile traditionnelle, la soirée délurée aux Viviers de Céline Maison, la superbe prestation de l'équipage d'Yvan Bourgnon vainqueur haut la main des deux parcours côtiers en Hoby 16 et la gentillesse de Jacqueline Tabarly, marraine du Trophée.

Pour connaître les classements, le palmarès des concurrents et tous les détails de l'événement, consulter le site du Trophée Mer Montagne®: http://www.trophee-mer-montagne.com

vendredi 26 septembre 2008

TAG HEUER et la DORA BALTEA

C'est en Italie sur la fameuse rivière DORA BALTEA que nous avons choisi d'emmener les cadres de la société TAG HEUER pour leur séminaire de rentrée, l'objectif étant de renforcer la cohésion du groupe à travers des activités aquatiques fortes en adrénaline. Après une journée passée dans un grand hôtel de Genève à travailler sur les objectifs commerciaux de l'année, nous leur réservons un premier décalage en les emmenant passer une nuit dans un refuge de montagne. Là-haut, Frank ADISSON, notre médaillé d'or de canoë biplace (JO Atlanta 1992) leur donne un premier aperçu de ce qui les attend en leur commentant son superbe film sur sa course olympique. Le lendemain, c'est à eux de jouer sur la rivière et bonjour l'adrénaline...! Il faut dire que les conditions sont loin d'être faciles avec une rivière tumultueuse grossie par les récentes pluies. Les bains succèdent aux bains, les équipages de deux des canoë-rafts sont plus souvent sous l'eau que sur l'eau et tout le monde est content de se retrouver le soir autour d'une bière dans le confort douillet de l'AUBERGE LA MAISON, notre traditionnel camp de base du petit village d' Entrèves. Samedi matin, il pleut des seaux pour la partie rafting. Une véritable ambiance de raid qui ne décourage absolument pas notre petite équipe. A dire vrai, l'habitude aidant, ils tiennent de mieux en mieux sur l'eau. Et puis l'ambiance sur la rivière est à l'aventure, Frank nous fait une démonstration de passage ventral de conduite forcée, il faut débarquer pour passer à pied des barrages, les rapides se succèdent aux rapides parfois noyés dans un brouillard humide... Dimanche, soleil enfin, dernier jour et petit changement de programme même si l'on reste dans l'aquatique avec la découverte d'un superbe canyon qui oblige à un long rappel pendulaire et des sauts spectaculaires dans des vasques profondes, afin de préserver cette quête d'adrénaline, thème récurrent du stage. 
Bravo encore au dynamisme et au bon esprit de cette équipe. Foi d'organisateur, compte tenu des conditions, tout le monde n'aurait pas gardé le sourire jusqu'au bout....

Merci aux cadres ELO Frank Adisson, Olivier Broumault et Mattéo Pellin.
Remerciements à Land Rover Gap pour la mise à disposition d'un véhicule tout terrain, au Refuge Maisonvieille et à l'Auberge La Maison pour leur accueil chaleureux et leur gentillesse permanente.
Chef de projet: Eric Loizeau 0607848919

dimanche 31 août 2008

Trophée Mer Montagne® version mer à Cancale

La seconde version du Trophée Mer Montagne® à la mer va avoir lieu à Cancale du mercredi 17 au samedi 20 septembre prochain, la première s'étant déroulée à l'Aber Wrac'h à la fin de l'été 2006. Rappelons que le Trophée Mer Montagne® est un événement sportif et convivial inventé en 1994 par Eric Loizeau. Il se déroule également en hiver dans une station de montagne, dernièrement aux Saisies pour sa quinzième édition. Le principe en est simple: 15 montagnards et 15 marins célèbres sont réunis par équipes de deux tirées au sort, un marin et un montagnard, et participent pour le meilleur et le pire à une série d'épreuves sportives qui détermine l'équipe championne. Ajoutons que depuis quelques années sont intégrées dans chaque équipe un jeune du club de ski ou de voile local, ce qui est une source d'émulation infinie pour la suite de leur carrière....
La marraine de cette édition maritime sera Jacqueline Tabarly elle-même car de profonds liens d'amitiés la rapprochent d'Eric Loizeau et de la station de Cancale et aussi parce qu' Eric Tabarly adorait la montagne et avait été le parrain du second trophée à Risoul en 1995; sans compter que de nombreux participants ont eu jadis l'honneur de naviguer sur l'un ou l'autre des fameux Pen Duick.
Sans vouloir déflorer le programme, les participants en découdront sur des catamarans hobby cat, des lasers, kayaks de mer et autres "virus"...Pour rassurer les montagnards, il y aura également un peu d'escalade et quelques descentes en rappel... Une belle part sera faîte aussi à la marine traditionnelle, grâce à la célèbre bisquine La Cancalaise et aux yoles de mer...Sans oublier les dégustations quasi obligatoires d'huitres et autres crustacés locaux.
Côté concurrents, nous attendons de voir avec impatience comment les Sébastien Amiez, Daniel Dulac, Philippe Goitchel et autres montagnards vont se comporter sur l'eau au côté des Escoffier, David, Ravussin, Dubois et consorts...

Dans tous les cas, ça va décoiffer grave quelques jours du côté de La Houle!!!!

jeudi 7 août 2008

Aventure et Développement Durable, un nouveau projet ambitieux pour Eric Loizeau et son équipe: les Défis pour Gaïa®



"Des conquérants de l'inutile au service de l'utile", voici comment Eric définit son nouveau challenge et celui de son équipe. Après avoir gravi le plus haut sommet du monde, l'équipe de base du projet se propose de partir vers d'autres montagnes emblématiques de la planète, mais d'une manière différente, la plus responsable possible.
"Il s'agit pour nos "éco-aventuriers" d'écrire à travers leurs exploits de belles histoires au service de l'univers, et d'attirer l'attention du plus grand nombre (et particulièrement celle de la jeune génération) sur l'importance du développement durable, du tourisme responsable et de l'environnement". 
Ainsi, chaque sommet sera atteint en respectant au mieux l'environnement et les ecosystèmes, en utilisant le moins possible de moyens mécaniques polluants et générateurs de carbone, en s'appuyant au maximum sur les structures locales, et en réalisant lors de chaque expédition une vraie action de RSE. 
Chacune de ces "éco-aventures" permettra aussi de montrer que la performance et la réussite d'expéditions lointaines ne sont pas antinomiques avec le développement durable et tout simplement qu'on peut voyager loin en polluant moins.
Ce sera donc à chaque fois une réflexion sur les moyens les plus responsables de voyager, d'approcher les sommets, d'organiser les camps en gérant au mieux énergie et déchets....

Le premier projet vise dès 2009 la Pyramide de Carsten, sommet de 5030 mètres situé  au centre de l'île Irian Jaya en Papousie Nouvelle Guinée, point culminant de l'Océanie. L'équipe se propose d'atteindre le pied de la montagne sans utiliser l'avion. Pour cela, ils emprunteront le mythique Transsibérien pour atteindre la Chine, puis un voilier jusqu'à la côte d'Irian Jaya  en traversant en quinze jours la Mer de Chine. La suite sera une progression à dos de mulet et à pied à travers la jungle, l'ascension elle-même devant se réussir en quelques jours. La durée totale de l'expédition est estimée à 3 mois.

Autour d'Eric, l'équipe se compose en majeure partie de ses amis alpinistes présents avec lui au Camp de Base de l'Everest cette fameuse année 2003:
  • Anselme Baud, guide de haute montagne, himalayiste et skieur emblématique
  • François Pallandre, guide, grimpeur, au sommet de l'Everest en 2003
  • Alexia Zuberer, alpiniste, professeur de ski, 2 fois au sommet de l'Everest (2003, 2007)
  • Jean Michel Asselin, alpiniste, écrivain, journaliste
  • Nicolas Mugnier, alpiniste, au sommet de l'Everest avec Eric en 2003
Pourront se joindre à cette équipe de base d'autres personnalités, sportifs, journalistes, chefs d'entreprise engagés également dans le développement durable et la RSE.

Pour une entreprise, s'associer aux Défis Pour Gaïa®, en plus de se rapprocher d'aventuriers au service de la Planète, c'est être acteur d'un véritable projet d'avenir et véhiculer de manière légitime et concrète ses valeurs dans l'univers de la Responsabilité Sociétale et Environnementale (RSE).  
C'est aussi utiliser des expériences fortes et pleines de sens pour sa communication interne et externe.

Pour tous renseignements sur le projet:
Eric Loizeau +33 (0) 607848919  eric.loizeau@elo.fr

vendredi 1 août 2008

Voyage de reconnaissances en NAMIBIE




Avec pour projet de prochains voyage d’aventure et d’exploration, nous sommes partis pour une session de reconnaissances en Namibie pays mystérieux d’Afrique australe dont le nom fait rêver. Finalement on se fait tout un plat du voyage, mais bon, si l’on prend le vol direct Paris Johannesburg, le voyage se déroule de nuit sans aucun décalage horaire. On atterrit à 8 heures, l’aéroport est confort et permet d’attendre sans souci la navette de 10 heures 30 pour Windhoek. L’avion est plus petit mais confortable, on le partage avec d’authentiques fermiers du bush et des noirs nouvellement admis car on se rend compte que l’apartheid n’est finalement pas si loin….Bref, à midi on arrive sur place, on est en Namibie, il fait chaud et cela sent bon l’Afrique.

Windhoek la capitale est une petite ville moderne de montagne. Elle culmine à 1500 mètres, du coup l’aéroport en est éloigné de 30 bons kilomètres. Nous ne nous y attarderons pas, sauf pour rencontrer le responsable d’XOAfrica, notre correspondant local, et récupérer notre 4X4 ainsi que le matériel de camping.

Nous avons choisi d’explorer dans un premier temps la région du Spitzkoppe, massif granitique surgi au milieu de nulle part, en pleine savane africaine. Ce piton de 800 mètres de haut est surnommé le « Cervin Africain » et il est vrai que sous un certain angle la ressemblance est frappante, même s’il est beaucoup plus facile à escalader. Une association locale gère le « campsite » et les autorisations pour pénétrer dans le parc. Du sommet, la vue est sublime, on pourrait presque voir l’océan atlantique au bout du désert, sans cette brume de chaleur évanescente caractéristique des régions australes.

L’océan atlantique sera d’ailleurs notre destination suivante. La piste rectiligne traverse d’abord une savane sèche d’herbe jaune, puis un désert minéral de pierrailles qui se transforme petit à petit en sable clair. On atteint une piste côtière qui suit la mer. Incongrue, une brumaille insipide noie le paysage. On se croirait en pays breton. Ce phénomène est dû au contraste fort entre la température glacée du courant atlantique qui vient directement de la banquise et la chaleur du continent. En tous les cas, tout ceci est très surprenant et explique que des milliers de phoques ont élu domicile sur cette côte hostile. La piste se déroule infinie devant nous. Jusqu’à présent, ce qui caractérise la Namibie à mes yeux est la densité de population extrêmement faible : on parcourt des centaines de kilomètres sans croiser âme qui vive, pas ou très peu de véhicules, aucun passant sur le bord des pistes, pas de villages de cases comme on peut en voir en Tanzanie ou au Sénégal, quelques rares fermes de boers que l’on repère par les éoliennes dressant leur structure de métal au cœur de toute cette immensité.

Nous voici à Swakopmund. C’est une ville du bout du monde, la seule station balnéaire de Namibie, créée en 1892 par des colons allemands. Jusque là l’embouchure de la rivière Swakop avait abrité quelques rares baleiniers américains de passage et des tribus Hereros, les premiers habitants de cette région semi-désertique. Ainsi, on se croirait dans une ville allemande échouée ici on ne sait trop pourquoi : les noms des rues, les patronymes, l’organisation, la langue, tout rappelle ici l’origine germanique. Un bout de quai rouillé pointe vers l’horizon, vestige ultime de ce qui fut un port au début du siècle, car maintenant toute l’activité maritime (pêche essentiellement) s’est concentrée 30 kilomètres plus au sud à Walvis Bay ou la baie des baleines…. Mis à part la mer qui ici est magnifique de puissance, l’endroit se caractérise par un incroyable cordon d’immenses dunes qui s’étend sur plusieurs kilomètres de largeur. Une randonnée dans ce désert de sable prend rapidement l’allure d’une traversée saharienne et l’on s’attendrait même à croiser des dromadaires, alors que la faune se compose surtout de gazelles, chacals, hyènes, lions et même des…. éléphants . La gentillesse des habitants, le climat presque frais, la diversité des paysages et la quantité d’activités possibles (char à voile, kayak de mer, ski dans les dunes, catamaran, exploration et découverte de la faune aquatique et terrestre…), tout cela donne envie de rester plus longtemps, mais notre voyage d’exploration à ses limites et il nous reste encore le sud à découvrir.

En route donc pour les plus grandes dunes du monde, celles de Sossusvlei. Pour cela il faut traverser le vaste désert du Namib jusqu’au village de Sesriem. Village, c’est un bien grand mot, car il s’agit de quelques baraques de tôles et de planches mal équarries regroupées autour d’une salutaire station d’essence -elles ne sont pas si nombreuses et la gestion du carburant est ici une question de survie – avec un « lodge » coiffé d’une sorte de minaret incongru dans ce coin d’Afrique et l’inévitable « camp site ». C’est aussi l’entrée du parc de Namib Naukluft qui contient les célèbres dunes. Le voyage pour y arriver à travers l’immense plaine désertique a semblé long et assez monotone malgré la beauté fascinante des paysages, mais il faut avouer que le spectacle final en vaut la peine. Une route goudronnée (pour une fois) traverse sur 60 kilomètres une immense vallée , en fait le lit d’un fleuve souterrain, bordée de part et d’autre de dunes gigantesques de sable mordoré. Avec un bon 4X4 et un peu de courage, car le goudron est suivi par une piste traîtresse, on peut continuer jusqu’au bout du bout et le site de « deadvlei », une sorte de vallée de la mort où plus rien ne pousse si ce n’est quelques acacias « erioloba » squelettiques…. Les dunes de Sossusvlei sont uniques au monde par leur hauteur, certaines culminent à 375 mètres au dessus de la rivière asséchée Tsauchab. Elles sont formées par l’accumulation de grains de sable transportés sur des distances considérables depuis le désert du Kalahari par le vent d’est dominant. Comme nous allons nous en rendre compte, leur ascension n’est pas si facile surtout par l’intense chaleur qui chauffe et ramollit le sable, mais le spectacle à partir du sommet est inoubliable. Avant de quitter ce site unique, nous aurons la chance d’assister au coucher du soleil en compagnie d’une famille d’autruches et de quelques antilopes peu farouches. A ce moment là, on se sent bien loin de notre monde moderne, de sa vie trépidante, des ses contingences pas toujours très agréables…

Après une nuit de camping sur les bords du canyon de Sesriem, entaille profonde dans ce sol pétrifié que nous explorerons tôt le matin, nous envisageons le retour vers Windhoek et la civilisation. Suivant les conseils de nos amis de XOAfrica, nous nous arrêtons boire une bière à Solitaire. Comme son nom l’indique, c’est encore un endroit abandonné au milieu de nulle part, avec quatre maisons qui se courent après autour d’une éolienne. Malgré tout, c’est une halte sympathique après plusieurs heures de conduite torride et poussiéreuse, car il y a un vrai bar et des boissons vraiment fraîches, une boutique tropicale, et les dernières nouvelles du monde affichées sur une ardoise au mur : les résultats des matches de rugby et la date (lointaine) des dernières pluies…. Pour rentrer à Windhoek, il faut quitter la plaine désertique et se hisser sur le plateau continental par une piste abrupte et tortueuse. Adieu le désert, bonjour la montagne. Pour notre dernière nuit namibienne, nous abandonnons le camping pour une « guest farm » confortable et cossue gérée par un couple âgé de fermiers d’afrikaners d’origine allemande. De générations en générations depuis 1908 ils exploitent avec amour cette terre difficile et se désolent d’être obligés de l’abandonner à cause du désintéressement de leurs enfants. Il faut bien avouer que vivre ici demande un amour immodéré de la solitude et de la rusticité…. 

Peut-être le leitmotiv de ce pays que nous retrouverons avec grand plaisir dans quelques mois… !

Reconnaissances menées par Eric Loizeau et François Pallandre en juillet 2008.

Remerciements à l'équipe d'XOAfrica.

jeudi 10 juillet 2008

BNPParibas Finances


40 collaborateurs, Sardaigne du 25 au 27 juin 2008

C’est dans une ambiance détendue que les 40 collaborateurs de la BNP PARIBAS se sont réunis à l’Hôtel MERIDIEN CHIA LAGUNA situé proche de la mer au sud de CAGLIARI.

JOUR 1

Réunion plénière et ateliers au Centre des Congrès attenant à l’hôtel .

Cocktail et dîner privatif au bord de la piscine.

JOUR 2

Séance de travail organisée en 4 ateliers en plein air.

Transfert en 4x4 sur le lieu du déjeuner sous la forme d’un Buffet champêtre Sarde dressé dans le maquis au cœur de la montagne et surplombant la mer.

Team Building Sarde

Rallye découverte, Quiz sur la Sardaigne, activité Pastoral (Tri de moutons), Safari photo de la Faune et de la Flore, composition d’un herbier et Blind Test gustatif et olfactif,

Randonnée pédestre sur un chemin longeant la mer à travers la pinède.

Challenge Kayaks de Mer sur la plage privée de l’Hôtel agrémenté d’un buffet de cocktail de fruits et pâtisserie Sardes.

Retour et détente à l’hôtel.

Cocktail et dîner de clôture « SOIRÉE BLANCHE » au restaurant « DUNE » ouvert sur la mer et éclairé par 200 bougies.

Fin de soirée animée par un DJ.

JOUR 3

Plénière de clôture.

Buffet avant transfert à l’aéroport.

Directeur de projet ELO Didier Depond 0684525011

 

Convention des ventes Campbell Liebig

C’est à l’hôtel QUINTA DA MARIHNA situé dans un écrin de verdure et proche du charmant village de bord de mer : CASCAIS,  que la société Campbell’s France a réuni ses 100 collaborateurs pour sa Convention des Ventes 2008 dans un esprit « Conquérant ».


Mardi

Séance de travail en plénière

Dîner privatif autour de la piscine

Cascaïs « By Night »

Mercredi

Team Building dans Lisbonne

Les 10 équipes de Campbell’s, munies d’un Road Book, se sont lancées à la découverte de Lisbonne et de son centre historique de l ‘ALFAMA en passant par les lieux les plus intéressants :  Principe Real, Largo Camões, Chiado, Rossio, Praça do Comércio, la Baixa, zone de  Belém (Monastère des Jerónimos...), etc...

Déjeuner sardines grillées dans un restaurant typique dans l’Alfama dans une ambiance de fête locale.

Les équipes se sont retrouvées en milieu d’après midi à la pâtisserie la plus célèbre de LIsbonne pour déguster les « Pasteis de Belem » la grande spécialité gourmande  locale.

Retour à l’hôtel pour une détente au bord de la piscine.

Transfert sur les DOCAS de Lisbonne pour un cocktail et dîner de clôture privatifs. Remise des récompenses. Poursuite de la soirée jusqu’au petit matin dans la  discothèque « BUDDHA BAR » sur les Docas.

Jeudi

Excursion à la carte à Sintra, la Quinta de la Régaleira et Cascaïs.

Buffet avant le départ à l’aéroport

 

Directeur de projet ELO Didier Depond 0684525011

mercredi 9 juillet 2008

Un Mont Blanc réussi pour Dassault Falcon


S'appuyant sur le savoir faire de l'équipe de guides d'Eric Loizeau, la filiale FALCON du groupe DASSAULT vient de réussir une opération de communication hors du commun en envoyant une équipe de 17 personnes au sommet du Mont Blanc le dimanche 29 juin dernier.
L'originalité de l'expédition résidait dans le groupe d'ascensionnistes, composé pour moitié de cadres de la société, commerciaux, pilotes, ingénieurs et pour l'autre de journalistes aéronautiques internationaux, américains, italiens, russes, français, anglais, une véritable cordée internationale... L'objectif reconnu étant de fédérer autour d'une ascension emblématique et difficile des gens habitués à se rencontrer et collaborer dans des circonstances plus classiques.
Le défi est lancé à la fin de l'année 2007 ce qui permet à Eric de proposer aux participants un programme de préparation complet afin d'arriver au mieux de leur forme à Chamonix et tenter l'ascension. De même, pour mettre plus de chances de leur côté, il leur est proposé une expédition globale de cinq jours, permettant une acclimatation optimale .
Ainsi, l'ensemble du groupe arrive à Chamonix le jeudi matin. La journée est consacrée à vérifier les équipements et essayer les chaussures de montagne. En fin d'après-midi, tout le monde grimpe à pied jusqu'au refuge hôtel du Montenvers pour passer une première nuit en altitude (1900m), retrouver les guides et assister à une projection des images de l'ascension réussie de l'Everest en 2003 par Eric Loizeau.
Le vendredi, l'acclimatation se poursuit avec un transfert à pied jusqu'au Plan de l'Aiguille, puis du sommet de l'Aiguille du Midi jusqu'au refuge des Cosmiques à 3600m, une première en haute montagne pour certains et un entraînement efficace pour tout le monde.
Le samedi est considéré comme un jour de transition: on retourne dans la vallée pour emprunter le TMB (Train du Mont Blanc) de St Gervais jusqu'au nouveau Refuge du Nid d'Aigle où l'on déjeune. Dans l'après-midi, c'est une longue randonnée à travers pierriers et névés épars jusqu'au Refuge de Tête Rousse juché sur son éperon solitaire face au panorama extraordinaire du glacier de Bionnassay. Les derniers guides sont arrivés et l'équipe se trouve maintenant au complet pour tenter l'ascension.L'acclimatation est réussie, l'ambiance détendue et tout le monde mange de bon appétit, ce qui n'est pas toujours le cas au-dessus de 3000 mètres.
La stratégie choisie par Eric et son équipe de guides est de partir très tôt de Tête Rousse le matin pour aller au sommet puis redescendre dormir au Refuge du Goûter. Cette technique a pour avantages de grimper séparés de la foule des ascensionnistes qui choisissent en général de partir du Refuge du Goûter, et surtout de franchir le couloir et l'arête du même nom (les seuls endroits exposés de l'ascension) aux moments les plus opportuns, avec moins de monde dans la voie et des températures plus fraîches.
Dimanche 29 juin. Petit déjeuner à 1h30, départ à 2h00. Le cortège des lampes frontales s'étire dans la nuit étoilée. La neige crisse dure sous les crampons. La température est idéale, ni trop froide, ni trop douce. Lorsque le jour se lève, les premiers sont en vue du Refuge Vallot. Il ne leur reste plus qu'à suivre l'interminable arête de Bosses qui sinue entre les séracs immobiles jusqu'au sommet atteint à 8h30. Ensuite, tout le groupe s'échelonne jusqu'à 10 heures avec comme surprise inouïe, le survol impromptu de l'arête par le Falcon Jet dernière génération....


Remerciements à :
  • Vadim Feldzer (Dassault Aviation) pour avoir eu le courage de proposer cette idée originale...
  • à toute l'équipe de guides charismatiques d'Eric Loizeau Organisations pour leur compétence et leur bonne humeur...
  • au personnel des refuges du Montenvers, des Cosmiques, du Nid d'Aigle, de Tête Rousse et du Goûter pour leur accueil chaleureux malgré la sur-fréquentation de ce début d'été.
  • Aux Thermes de Saint Gervais qui ont remis en état nos ascensionnistes à leur retour...
  • à notre "devin" Yann Giezendanner aux prévisions météorologiques toujours aussi éclairées.
  • au Mont Blanc qui reste tout de même une des plus belles montagnes du monde.

Les premiers JO MANUTAN


Hervé Guichard DG de Manutan International a souhaité créer un événement interne permettant de réunir et de faire participer le plus grand nombre de collaborateurs de la société au mois de juin 2008.

En totale confidence avec la com. interne de Manutan, l’agence ELO a mis en place les Manutan JO 2008.

Une journée originale où se combinaient le sport, le jeu, la réflexion, la fête et surtout un esprit solidaire pour les 16 équipes inscrites.

Lancé officiellement en février 2008, le projet à permis à plus de 200 collaborateurs de se connaître, s’entraîner et se préparer ensemble pour  cette Journée Olympique. Bel exemple de communication au sein de l’entreprise qui a porté les équipes durant plus de 4 mois.

Samedi 14 juin. Le « terrain de jeu » est installé sur la Base de Loisirs de Cergy Pontoise où la qualité et la diversité des installations permettent de créer des challenges classiques,  rafting, toile Spiderman, Benji Ejection, canoë, tir à l’arc et des activités plus personnalisées comme le « colisage » et  le « jeu des palettes » conçus pour mettre à l’épreuve le sens de réflexion et de stratégie des compétiteurs. D’une dimension plus « éthique », Le challenge « Basket fauteuil » a été, quand à lui, une des activités les plus appréciées: la convivialité partagée avec les sportifs handisport en fauteuil au travers de matchs en commun fut l’une des marques fortes de ces JO Manutan 2008.

Au terme de cette journée où toutes les équipes ont fait preuve de dynamisme et de motivation s’est déroulée une émouvante remise des prix. Le principe retenu par Manutan consistait pour chaque équipe à soutenir une association. Ainsi, l’équipe vainqueur a permis de doter l’association D.A.N.S.E.R (l’Art pour Nous les Sourds et Entendants Réunis) d’une somme de 3000 € lui permettant de poursuivre ses projets sur l’année 2008/2009. Un moment fort en émotion animé par une  pianiste non voyante qui a touché le cœur d’un public conquis.

Ce fut ensuite au tour du groupe musical non voyant des jeunes de l’INJA (Institut national des Jeunes Aveugles) d’accompagner jusque tard dans la nuit la soirée qui se voulait très conviviale et festive avec buffets et grillades de grande qualité aux couleurs des JO.

Il est bien clair que la réussite de ce premier rendez-vous « sport et solidarité » donnera des idées pour 2009 et les années suivantes à l’équipe Manutan.

Remerciements chaleureux à :

L’équipe de la Base de Loisirs de Cergy Pontoise autour d’Olivier.

L’équipe de Basket Handisport réunie autour de Ryadh et Richard.

Les musiciens de l’INJA et l’équipe de conception de notre partenaire Ethik Event.

Parfums & Saveurs : Le Traiteur Scénographique et Evénementiel.

Philippe, sa « technico Band » et tous les encadrants ELO de cette journée mémorable.

Et bien sur Manutan, Hervé son Directeur Général et Ségolène en charge de la communication, qui nous font confiance année après année pour créer des événements originaux à l’image de leur société.